Dire adieu à un compagnon félin est un moment difficile, empreint d’émotions.
Malgré tout, reconnaître les symptômes et comportements d’un chat en fin de vie peut vous aider à lui offrir le réconfort dont il a besoin.
Nous allons vous aider à identifier les signes de cette phase délicate, pour que, si votre chat est en fin de vie, vous ayez les clés pour rendre ses derniers moments aussi paisibles que possible.
Chat mourant : 10 symptômes et comportements
Un jour, il vous faudra affronter une étape difficile : celle de dire adieu à votre chat. Que ce soit à la suite d’un accident ou de manière plus prévisible en raison de l’âge ou de la maladie, la fin de vie d’un compagnon à quatre pattes s’accompagne souvent de signes visibles.
Si vous avez remarqué des changements dans le comportement de votre chat récemment, il est important de rester attentif. Avant même de consulter un vétérinaire, certains symptômes peuvent vous alerter sur l’état de santé de votre animal, et vous préparer à la suite. Voici les principaux symptômes et comportements d’un chat mourant.
1. Il ne se déplace plus (ou peu)
L’un des signes fréquents chez un chat mourant est sa réduction drastique de mobilité.
Alors qu’il était peut-être actif et curieux, vous pouvez constater que votre chat ne se déplace plus ou très peu.
Il peut par exemple éviter de monter sur ses lieux de repos habituels, se contenter de rester allongé dans un coin, ou faire preuve de lenteur et de fatigue dans ses gestes.
Cette immobilité peut être causée par une perte d’énergie, des douleurs physiques, ou une faiblesse généralisée due à la maladie ou à la vieillesse.
Attention : Si votre chat ne se déplace plus, facilitez son accès à l’eau, à la nourriture et à sa litière.
2. Il s’éloigne de vous
L’isolement est un comportement courant chez un chat mourant. Alors qu’il pouvait autrefois rechercher votre présence ou celle des autres membres du foyer, il préfère désormais rester seul, loin de l’agitation.
Il peut se retirer dans des endroits calmes, sombres, et souvent inhabituels, comme sous un meuble, dans un coin de la pièce, ou dans un placard. Cet isolement est souvent un instinct naturel, le chat cherchant à se protéger et à se reposer sans être dérangé.
Ce comportement peut être difficile à voir pour les propriétaires, car il peut sembler que le chat vous rejette ou ne cherche plus à interagir. Toutefois, il s’agit d’une réaction instinctive face à la faiblesse ou à la douleur, un moyen pour lui de trouver un certain confort et de se sentir en sécurité dans ses derniers moments.
Bien qu’il se mette à l’écart, votre chat ressent toujours votre présence et votre amour, même s’il ne cherche plus autant le contact direct.
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3. Il montre un désintérêt général
Un autre signe souvent observé chez un chat mourant est un désintérêt marqué pour son environnement et les activités qui l’entourent. Là où il pouvait auparavant s’intéresser à ses jouets, observer à travers la fenêtre, ou répondre à vos sollicitations, il devient progressivement apathique. Le chat peut ne plus répondre à des stimuli qui le captivaient autrefois, comme les jeux, les bruits ou même votre voix.
Ce désengagement peut être lié à une perte d’énergie, à la douleur ou simplement à un affaiblissement progressif dû à la maladie ou à la vieillesse.
Ce comportement de retrait peut être difficile à accepter, car il reflète un changement profond dans la personnalité du chat. Il est important de comprendre que ce désintérêt est un signe de fragilité, et non un manque d’affection envers vous. Le chat conserve une conscience de son environnement, mais il n’a plus la force ou la motivation d’y participer activement. Il cherche simplement à économiser son énergie et à se préserver dans ses derniers instants.
4. Il dort plus que d’habitude
Un chat mourant passe la majeure partie de son temps à dormir, beaucoup plus que d’habitude.
Ce sommeil prolongé est souvent lié à une fatigue extrême ou une faiblesse générale, alors que son corps lutte contre la maladie ou le vieillissement. Le chat peut sembler constamment fatigué, préférant rester allongé sans bouger.
Ce besoin accru de sommeil chez le chat mourant est un signe que son corps s’épuise progressivement, lui demandant de conserver le peu d’énergie qu’il lui reste.
Bon à savoir : Un chat dort en moyenne 16 heures par jour, ce qui est tout à fait normal. Ce long sommeil n’est pas forcément un signe de maladie ou de fin de vie. Cependant, un changement soudain dans ses habitudes de sommeil, accompagné d’autres symptômes, peut indiquer un problème.
5. Il ne mange plus et ne boit plus
La plupart du temps, un chat qui ne mange plus et qui ne boit plus veut dire que votre compagnon est malade ou qu’il ne se sent pas bien. Cela peut être anodin, comme chez un humain, ou plus grave, voire signifier que votre chat est mourant.
Bien qu’il puisse s’agir d’un trouble digestif banal, d’une douleur dentaire ou d’une petite maladie passagère, la perte de l’appétit chez votre félin ne doit pas être prise à la légère.
La perte d’appétit et le refus de boire peuvent aussi être un des comportements d’un chat en fin de vie.
Ce comportement peut en effet être un indicateur que son organisme ralentit progressivement. Le chat peut renifler la nourriture sans y toucher, ou simplement ignorer totalement son bol d’eau. Si votre chat est mourant, cette perte d’intérêt pour la nourriture et l’eau est alors un signe que ses fonctions vitales déclinent, marquant une étape avancée dans son état de santé.
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6. Il ne se toilette plus (ou pas correctement)
Le chat est un animal connu pour sa propreté et sa capacité à s’auto-nettoyer.
Les chats sont des félins qui effectuent des toilettes quotidiennes, d’une part parce qu’ils aiment la propreté, d’autre part parce que la toilette les maintient en bonne santé !
Mais alors que les chats sont habituellement très soigneux avec leur hygiène, un chat en fin de vie peut cesser de se laver correctement, voire totalement.
Son pelage peut devenir terne, emmêlé ou gras, signe qu’il n’a plus l’énergie pour maintenir son habitude de toilettage. Ce manque de soin personnel reflète souvent une grande faiblesse ou un inconfort physique.
La négligence de la toilette peut donc être un des comportements du chat mourant.
Si vous vous rendez compte que votre petite boule de poils n’a plus la force ou l’envie de se laver, cela est mauvais signe. Même s’il n’est pas mourant, il y a sûrement quelque chose qui ne va pas, et vous devriez consulter votre vétérinaire.
7. Il ne fait plus ses besoins dans sa litière
Comme pour les humains, les organes des chats vieillissent en même temps que ces derniers.
Lorsqu’ils se font vieux, la vessie et les reins peuvent présenter des dysfonctionnements.
Combiné à la fatigue, votre boule de poils peut ne plus avoir le temps d’aller jusqu’à sa litière pour faire ses besoins.
Si vous vous apercevez que votre chat urine et fait ses besoins un peu partout dans votre maison, votre animal est peut-être malade ou mourant.
8. Il a du mal à se mettre sur ses pattes (faiblesse musculaire)
Un signe fréquent chez un chat mourant est une faiblesse musculaire généralisée, souvent visible lorsque ses pattes tremblent ou semblent se dérober sous lui lorsqu’il tente de se lever ou de marcher. Ce manque de force et de coordination est un indicateur que son corps s’affaiblit et n’a plus l’énergie nécessaire pour soutenir ses mouvements.
Les efforts qui étaient autrefois simples, comme sauter ou se déplacer vers son bol, deviennent de plus en plus difficiles. Il peut se lever avec hésitation ou même tomber après un mouvement. Cette faiblesse est souvent le résultat d’une détérioration progressive de son état de santé, liée à la maladie ou à la vieillesse, affectant ses muscles et ses capacités motrices.
9. Sa respiration est inhabituelle
Un autre signe qu’un chat approche de la fin de sa vie est un changement dans sa respiration. Vous pouvez remarquer que sa respiration devient plus rapide, superficielle, ou même irrégulière.
Parfois, il peut sembler essoufflé ou avoir des périodes où il respire plus lentement que d’habitude. Dans certains cas, vous pourriez entendre des sifflements ou des gémissements légers en raison de l’effort que cela lui demande. Ces changements respiratoires peuvent indiquer que ses organes vitaux, comme les poumons ou le cœur, ne fonctionnent plus correctement.
Ces signes peuvent être associés à une détresse respiratoire, et il est important d’être attentif à ces changements, car ils reflètent souvent un affaiblissement profond de son état de santé.
Bon à savoir : Un chat en bonne santé respire en moyenne 20 à 30 respirations par minute. Sa respiration est généralement silencieuse et régulière, sans signe d’effort ou d’essoufflement.
10. Ses yeux peuvent sembler vitreux ou fixes
Un signe terrible pour les parents de félin qui soupçonne leur animal en fin de vie est souvent le changement de regard de leur compagnon.
Les yeux d’un chat mourant peuvent en effet paraître vitreux, troubles, ou son regard peut devenir fixe, comme absent, donnant l’impression qu’il est détaché de son environnement. Ce changement peut être dû à un affaiblissement général de son organisme ou à une perte d’énergie, ce qui affecte sa capacité à interagir visuellement avec son entourage.
Un chat qui semblait autrefois alerte et curieux peut s’il est en fin de vie fixer un point dans le vide, sans vraiment réagir aux mouvements autour de lui. Ses yeux peuvent aussi devenir secs ou sembler plus ternes, signe que son corps n’a plus la capacité de maintenir une hydratation optimale.
👨⚕️ Notre expert répond à vos questions…
Mon chat est en fin de vie et ronronne étrangement, cela veut dire quoi ?
Le ronronnement d’un chat mourant peut être difficile à comprendre, surtout lorsque vous êtes profondément attaché à lui et que vous essayez de comprendre ce qu’il ressent. Parfois, les chats continuent de ronronner, même dans leurs derniers moments. Le ronronnement est un comportement complexe chez les chats, et il peut parfois être une façon pour eux de se réconforter ou de chercher du réconfort auprès de vous, surtout lorsqu’ils se sentent faibles ou vulnérables.
Ce ronronnement peut être différent de celui auquel vous êtes habitué : il peut être plus faible, plus irrégulier, ou même presque imperceptible. Le chat peut continuer à ronronner doucement même s’il montre d’autres signes de faiblesse, comme une respiration difficile ou un manque d’énergie. Dans ces moments, il est possible que votre chat essaie de trouver une forme de soulagement, tout en sentant votre présence à ses côtés.
Ce qui est important, c’est de comprendre que ce ronronnement pourrait être sa manière de vous dire qu’il est là, qu’il ressent votre amour et votre soutien. L’accompagner dans ses derniers instants avec douceur, en le caressant doucement et en lui offrant un environnement calme, peut lui apporter un apaisement précieux. Votre présence est réconfortante, et il le sait.
Il est normal de se poser des questions dans ces moments difficiles. Vous faites de votre mieux pour lui offrir de l’amour et du réconfort jusqu’à la fin, et cela est tout ce qui compte vraiment.
Mon chat a des spasmes, est-il en fin de vie ?
Je comprends que voir votre chat avoir des spasmes peut être inquiétant. Cependant, il est important de savoir que les spasmes peuvent être causés par différentes choses, et cela ne signifie pas forcément que votre chat est en fin de vie.
Les spasmes peuvent être le signe de plusieurs conditions, telles que :
- Des douleurs musculaires ou articulaires (par exemple, de l’arthrite chez les chats âgés).
- Problèmes neurologiques, comme une crise d’épilepsie ou des convulsions.
- Intoxications ou ingestion de substances toxiques (médicaments, produits ménagers).
- Déséquilibre électrolytique dû à des problèmes rénaux, hépatiques ou à une déshydratation.
- Stress ou anxiété, qui peuvent également entraîner des mouvements anormaux.
Si ces convulsions ou spasmes sont soudains et accompagnés d’autres symptômes comme une perte d’appétit, une respiration difficile, ou un comportement inhabituel (isolement, léthargie), il serait prudent de consulter rapidement un vétérinaire. Cela permettrait d’identifier la cause exacte et de mettre en place un traitement approprié.
Bien que les spasmes puissent être un signe d’un problème sous-jacent grave, seul un examen vétérinaire pourra déterminer si c’est lié à une phase terminale ou à une autre condition traitable.
Mon chat est mourant, que faire ?
Le verdict du vétérinaire est tombé. Votre fidèle compagnon est mourant… L’idée d’accepter de le perdre est difficile.
Malgré tout, vous avez à cœur de faire votre maximum pour qu’il parte sereinement et pour que ces derniers instants à vos côtés soient les plus agréables possible.
Notre premier conseil serait de profiter des derniers instants avec votre chat. Faites en sorte qu’il se sente comme un roi afin de le réconforter.
Pour ce faire, vous allez devoir rendre son environnement encore plus confortable que d’habitude (même si nous savons que vous lui avez déjà offert le meilleur).
1. Réduisez le bruit et les activités autour de votre chat
Il est essentiel de limiter les activités autour d’un chat mourant, car tout bruit excessif ou mouvement fréquent peut augmenter son stress et son inconfort. Les chats sont particulièrement sensibles à leur environnement, et à mesure qu’ils s’affaiblissent, ils recherchent un espace calme où ils peuvent se reposer en paix. En réduisant les va-et-vient dans la maison, les conversations bruyantes, ou même le déplacement des meubles, vous offrez à votre chat un cadre de sérénité.
Cela signifie également que les jeux ou interactions avec d’autres animaux doivent être évités à proximité de lui. Il est préférable de limiter les stimulations externes et de respecter son besoin de solitude. Créez un espace calme et isolé, où il se sentira protégé des perturbations, et où il pourra se retirer en toute quiétude. Cette tranquillité peut grandement contribuer à apaiser ses derniers moments, lui permettant de se détendre sans être dérangé par l’agitation environnante.
2. Aménagez un espace de confort pour ses derniers moments
Créer un espace de sommeil confortable est essentiel pour que votre chat puisse se reposer paisiblement dans ses derniers jours.
Utilisez des couvertures moelleuses, des coussins doux, ou même un matelas en mousse pour soutenir son corps affaibli et lui offrir un maximum de confort. Ajoutez des jouets ou peluches familiers à proximité, non pas pour jouer, mais pour qu’il se sente entouré d’objets qu’il connaît et qui lui apportent du réconfort. Veillez également à ce que votre chat soit bien au chaud, surtout si sa circulation est affaiblie, en utilisant des couvertures supplémentaires si nécessaire.
3. Ajustez l’éclairage pour son bien-être
L’éclairage de son espace de repos doit être soigneusement pensé pour le rendre aussi confortable que possible. Pendant la journée, donnez-lui accès à de la lumière naturelle en ouvrant les rideaux ou en plaçant son couchage près d’une fenêtre. Cela lui permettra de se sentir connecté à son environnement naturel. Cependant, la nuit, optez pour un éclairage tamisé afin de créer une ambiance apaisante et peu stimulante. Un éclairage trop vif pourrait le déranger, tandis qu’une lumière douce et indirecte l’aidera à se sentir à l’aise et en sécurité.
4. Facilitez l’accès à tout ce dont il a besoin
Étant donné que votre chat n’a probablement plus la force de se déplacer, il est essentiel de placer tout ce dont il a besoin à portée de pattes. Assurez-vous que sa nourriture, son eau, et sa litière sont facilement accessibles sans qu’il ait à faire trop d’efforts. Vous pouvez même utiliser des récipients bas pour lui permettre de boire et de manger sans difficulté. Réduire ses déplacements lui permettra de conserver son énergie tout en répondant à ses besoins de base, ce qui contribuera à améliorer son confort dans cette phase délicate.
5. Adaptez votre façon de le nourrir
Préparez-lui des repas savoureux et appétissants. Il est probable qu’il mange peu, donc il est essentiel de lui offrir des aliments qu’il aime et qu’il a plaisir à manger, même en petite quantité. C’est le moment de répondre à ses préférences en lui offrant ses mets préférés : du saumon, des miettes de thon, de la viande tendre ou des pâtés de qualité. Ce geste d’attention peut rendre ses derniers moments plus agréables et lui apporter un peu de réconfort.
En plus de perdre l’appétit, il se peut que votre félin n’ait plus la force de se nourrir seul. Dans ce cas, mettez la nourriture en bouillie et donnez-la-lui à la petite cuillère.
3. Soulager sa maladie via un traitement vétérinaire
Certaines maladies sont tristement incurables (péritonite infectieuse féline, typhus du chat…). Mais il est possible de ne pas laisser votre matou souffrir avant qu’il ne parte !
Dès lors, il est primordial de faire le point avec votre vétérinaire afin de savoir s’il existe un traitement capable d’atténuer les souffrances de votre animal.
Le traitement, qu’il soit naturel ou médicamenteux, est une solution pour que votre chat ne souffre pas.
Qui plus est, il peut permettre de rallonger de quelques mois ou de quelques années l’espérance de vie de votre compagnon.
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4. Utiliser des remèdes naturels calmants
Outre les traitements médicamenteux parfois toxiques et pouvant provoquer de nombreux effets secondaires, les remèdes naturels peuvent aider à améliorer la qualité de vie de votre chat, et l’aider à vivre plus sereinement ses derniers jours.
Certaines plantes comme la valériane peuvent par exemple apaiser votre compagnon.
Particulièrement efficace et utile si votre chat est en fin de vie, certains extraits naturels sont ainsi idéaux pour atténuer le stress que génère cette étape.
Des marques pour animaux sont spécialisées dans les produits naturellement apaisants à base de plantes et autres extraits naturels. Botaneo par exemple propose une gamme complète de calmants et suppléments naturellement apaisants.
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5. L’euthanasie, le dernier recours
L’état de santé de votre chat ne cesse de se dégrader ? Loin d’être une décision facile à prendre, l’euthanasie est une décision profondément difficile à envisager pour tout parent de chat. Pourtant, dans certaines situations, elle peut être un acte d’amour pour aider votre compagnon à partir en paix, sans souffrance. Si votre chat montre plusieurs signes de détresse, est âgé ou atteint d’une maladie incurable, il est naturel de se sentir perdu face à cette possibilité.
Après une discussion approfondie avec votre vétérinaire, l’euthanasie peut parfois être envisagée lorsque la souffrance de votre chat ne peut plus être soulagée, même avec des traitements. Le vétérinaire pourra vous accompagner pour déterminer si cette option est la meilleure pour lui, en fonction de son état et de sa qualité de vie.
Voici quelques situations où l’euthanasie peut être envisagée :
- Votre chat souffre au quotidien et ses douleurs ne peuvent plus être apaisées.
- Son âge avancé le prive de toute autonomie et de bien-être.
- Les traitements, qu’ils soient médicamenteux ou naturels, ne parviennent plus à lui offrir du confort.
- Il ne peut plus vivre sans assistance permanente.
Chaque cas est unique, et cette décision doit être prise avec soin et en étant entouré de conseils. Ce choix, bien que déchirant, peut parfois permettre à votre animal de s’épargner des souffrances inutiles et de partir dans la dignité.
Prenez soin de vous aussi : Accompagner un animal en fin de vie est émotionnellement épuisant. Prenez du temps pour vous reposer et parler de vos sentiments avec des proches ou un professionnel, afin de gérer ce moment avec sérénité.
Chat mourant, vos questions fréquentes :
Quelle est l’espérance de vie d’un chat ?
En moyenne, les chats vivent entre 12 et 18 ans. Certains peuvent même vivre jusqu’à 20 voire 22 ans.
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Quelles sont les maladies les plus courantes chez les chats ?
Les chats sont exposés à de nombreuses maladies, dont certaines mortelles si elles ne sont pas traitées.
Les maladies mortelles les plus répandues sont : la leucémie féline, la péritonite infectieuse féline, l’insuffisance rénale chronique et le virus de l’immunodéficience féline (FIV).
Quels sont les aliments à éviter à tout prix pour mon chat ?
Certains aliments peuvent être mortels pour votre chat. L’avocat, les oignons, l’ail, le chocolat, le thé et le café peuvent, par exemple, causer la mort de votre chat.
Notre équipe éditoriale
Experte en santé animale, elle intervient comme spécialiste des médecines douces auprès d’intervenants du monde animalier. Rédactrice pour des médias du domaine vétérinaire, elle est également l’auteur d’un livre de référence en phytothérapie animale.
Bonjour je viens de perdre mon chat de 9 mois je l’est retrouvé morts devant mon portail il étais sorti la veille et au petit matin il était sans vie position latérale yeux et bouche fermer avec un morceaux d’herbe entre les dans sa bouche fermer… je suis triste et ne comprend pas son décès tout allait bien c’était un chat assez actif et nerveux… pouvez vous m’aider svp j ai du mal à faire mon deuil je culpabilise
Merci d’avance
Bonjour,
Tout d’abord, nous sommes navrés de lire votre message et comprenons votre souffrance. Malheureusement, il est très difficile à distance de vous faire un retour sur les causes du décès de votre chat. Il peut s’agir d’une intoxication ou d’un choc, ou d’une tout autre cause encore. Peut-être que votre vétérinaire peut vous éclairer.
De notre côté, nous pouvons simplement partager votre peine et vous assurer que vous n’avez pas à culpabiliser. Les chats sont des animaux intrépides, curieux, aventuriers, et leur laisser une certaine liberté est une preuve d’amour et de respect de notre part. Malheureusement, le monde extérieur est dangereux et l’exploration de celui-ci peut avoir un prix… Vous n’y êtes pour rien. Ce message que vous nous laissez est une ultime preuve de l’amour que vous lui portiez. C’est tout ce qui compte !
Vous envoyant tout notre courage,
Audrey
Merci, pour ce texte
Ma chatte a 22 ans et a tout les symptômes d’une chatte mourante sauf incontinence.
Je vais voir le vétérinaire aujourd’hui.
Je suis très triste, un morceaux de ma vie va partir.
Je ne console en me disant qu’elle Lily a eux une très belle vie.
Bonjour Johnathan,
Nous partageons votre peine et vous envoyons tout notre courage dans cette épreuve.
Nos pensées se tournent vers Lily.
Laissez vous porter par les beaux moments que vous avez passé avec elle. Elle vous a sans doute laisse une belle leçon de vie. Toutes mes meilleures pensées
Mon petit mimi s’est éteinte hier à l’âge de 17 ans.. je ne fais que culpabiliser parce qu’on a dû l’euthanasier.. elle n’a jamais montré aucuns signes de souffrance, bien que dû à un accident et sa paralysie, elle avait quelques soucis d’estomac.. ça faisait quelques temps qu’elle faisait des crottes sèches et je voulais l’emmener chez le veto mais ça ne s’est pas fait et je m’en veux de ne pas avoir assez prit cela au sérieux.. bien que je pensais que c’était dû à ses croquettes qu’on a changé et ça s’est arrêté.. hier elle commençait à haleter comme les chiens, elle ne voulait plus boire ni manger, elle s’isolait et n’arrivait plus à faire ses besoins toute seule.. je l’ai emmené en vitesse chez le veto (elle avait peur puis s’est très vite calmée une fois que je l’ai aidée à faire ses besoins) qui m’a directement dit qu’elle avait une tumeur.. elle ne comprenait pas ce qu’il se passait et en même temps elle était allongée et ne disait rien.. il m’a dit qu’elle avait la vessie pleine et tout ce qui s’en suit (elle n’a jamais eu de litière elle préférait faire ses besoins dehors, du coup on ne l’a pas vu mais ça semblait récent puisqu’elle a eu le ventre gonflé seulement hier, on a l’habitude de lui masser le ventre tous les jours..) ils ont voulu l’euthanasier directement après m’avoir laisser un peu avec elle.. qu’elle souffrirait dans la nuit et qu’il fallait penser à elle, elle n’avait pas l’air de souffrir pourtant.. enfin plus que je l’imaginais mais elle s’est relevée pour faire sa toilette, elle pensait sûrement rentrer à la maison.. finalement on a prit la décision de le faire sur le moment et je m’en veux terriblement de ne rien avoir vu plus tôt et de ne pas lui avoir consacré une nuit de plus pour lui parler et la rassurer même si j’ai fais ce que j’ai pu avant qu’elle parte.. j’étais avec ma maman mais pas mon papa qui ne s’en remet pas de ne pas l’avoir vu pour lui dire au revoir (ils avaient un lien spécial..) je suis dévastée à l’idée qu’elle n’est pas dit au revoir à sa fille et qu’elle pensait sûrement rentrer à la maison et que finalement elle n’est jamais ressortie du veto.. je crois ne jamais m’en remettre et j’espère qu’elle ne m’en veut pas là d’où elle est, j’espère qu’elle est en paix et qu’elle sait combien on l’aime.
Bonjour LJC,
Nous avons été déchirés à la lecture de votre histoire et partageons votre peine. 🙁 Toutefois, nous sommes certains que votre petite Mimi est désormais en paix et surtout qu’elle n’a jamais douté de l’amour que vous lui portiez. Nos animaux ressentent nos émotions et votre choix a été uniquement guidé par l’amour et la volonté qu’elle ne souffre pas.
Vous apportant tout notre soutien.
J AI ADOPTE PLUS DE 40 PAUVRES CHATS ABANDONNES AU COURS DE MA VIE ET C EST DEPUIS PEU QUE J ARRIVE A DONNER LE FEU VERT POUR ARRETER LEURS SOUFFRANCES.VOUS AVEZ BIEN FAIT MEME SI VOUS VOUS SENTEZ COUPABLE ET MAL DANS VOTRE FORT INTERIEUR;POUR GAGNER QUELQUES JOURS ET LAISSER L ANGOISSE LES ATTEINDRE IL VAUT MIEUX ARRETER TRES AMICALEMENT DLC
bonjour, Mon gros Zac d’amour est parti mourir dans le jardin de la voisine, il avait 15 ans, il n’avait pas le comportement d’un chat qui allait mourir, il était amaigri mais mangeait toujours un peu et aimait toujours mes câlins, restait toujours dans mon jardin près de la maison, il ne s’éloignait jamais et rentrait juste pour manger, mais depuis qu’il est tout petit il aimait passer tous les étés dehors ou je lui avait fait un petit coin confortable à l’abri de la pluie et du vent, il me manque terriblement, quand je l’ai trouvé il avait 15 jours, nourri au biberon, il est devenu magnifique, un gros chat gris aux yeux vert qui pesait plus de 6 kilos, sa présence me manque, je suis triste de savoir qu’il et mort tout seul dans un coin du jardin de ma voisine. maintenant il est au pays des chats sans souffrance et mon cœur est gros. je l’aime frot fort fort.
Bonjour, et merci pour ce commentaire déchirant. Nous savons à quel point il est difficile de perdre nos compagnons de vie.
Le principal est de leur offrir une vie d’amour comme vous l’avez fait pour Zac. Il peut maintenant reposer en paix, et nous sommes certains qu’au moment du départ, il savait toute la bienveillance que vous lui portiez.
Vous apportant tout notre soutien.
Bonjour, mon chat à un lymphome et l’oncologue lui a donnée entre 2 semaine à 1 mois de vie. Je ne veux pas l’euthanasier c’est une question éthique et j’aimerais savoir ce que vous conseillé, s’il existe une littérature, ou des expert sur comment accompagner son animal mourant naturellement à la maison. merci
Bonjour,
Tout d’abord nous sommes sincèrement touchés par votre commentaire. Nous savons qu’il s’agit d’un sujet très difficile à aborder et que les parents d’animaux se retrouvent souvent désarmés face à la détresse de leur compagnon. Nous avons rédigé un article sur comment accompagner les chiens en fin de vie. Peut-être y trouverez vous quelques soutiens pour votre chat. Pour le parcourir, cliquez ici.
Cordialement,
Bonsoir, mon chat Manouche a souffert d’un lymphome des cavités nasales en 2012. Certains vétos lui donnaient 6 à 8 semaines à vivre. Je l’ai confié à un oncologue d’une grande école vétérinaire. Ils ont tenté une chimiothérapie et mon doudou a vécu dix ans de plus. Il est mort de tout autre chose (crise d’urée), il y a quelques semaines. Il me manque terriblement mais j’ai tenu à le garder près de moi jusqu’au bout. J’ai tenu ses pattes jusqu’au dernier souffle après avoir tout tenté pour le sauver. N’abandonnez pas, quelle que soit votre décision. Accompagnez votre bonhomme dans un traitement ou vers la fin. Courage
Merci pour ce message de soutien et de bienveillance. Courage à vous également.
Bonjour je suis tiraillée ma chatte qui a 20 ans souffre de gingivite depuis 5 ans elle est soignée à la cortisone régulièrement je lui donne une semaine par mois des antibiotiques mais il y a un an elle a développé un cancer au niveau du museau et là elle a du mal à respirer tellement c est gros mais elle se bat je la fais manger au doigt . Mon vétérinaire qui l a vu il y a 3 semaines m a dit que c était de l acharnement et qu il fallait que je l aide à partir .Je ne sais pas quoi faire je vois qu elle est très fatiguée mais je me dis que ça peut peut-être attendre.Merci.
Bonjour Madame,
Je suis navrée pour votre petite chatte… 🙁 Nous savons qu’il est difficile de dire aurevoir à nos compagnons. Malheureusement, même si les vétérinaires nous accompagnent et nous conseillent, la décision finale est toujours entre les mains de la famille. Continuez à écouter la voix de votre cœur et celle du vétérinaire. La réponse que vous cherchez finira par vous parvenir.
Vous envoyant tout notre soutien.
Bonsoir, ma chatte a 17 ans, elle commence à faire pipi partout même sur le lit de mon fils depuis 2 mois .. si je lui donne de la pâtée elle a la diarrhée , elle réclame .. oui son poil est moins beau mais elle vieillit . Existe-t-il qq chose pour éviter qu’elle fasse Pipi partout ?
Bonjour Frédérique,
Je vous remercie pour ce témoignage et suis navrée de lire ces nouvelles de votre petite chatte. Nous avons rédigé un article sur ce thème, peut-être y trouverez-vous des pistes pour réorienter son comportement. Pour le parcourir, cliquez ici.
Vous apportant tout notre soutien.
Cordialement,
Bonjour mon felix va avoir 12 ans bientôt et depuis peu il a eu du liquide dans les poumons je droit lui donner des diurétiques après une semaine sa va mieux au niveau de l’œdème mais il refuse de manger la nourriture l’écœure je suis désemparé il est devenue tellement maigre n’a plus de force reste dans son coin j’ai l’impression qu’il se laisse mourir il boit mais la nourriture je lui donne A la petite cuillère et il tourne sa tete on ma donner du mirataz a voir si il a envie de remanger je suis tellement accablé 😞😞 c’est dur
Nous compatissons à votre peine Armand et vous envoyons nos sincères pensées à vous et Felix. :'(
Bonjour,
Ma petite Sumi d’un an et demi a été percuté par une voiture le 2 janvier. L’année ne commence pas bien pour elle et moi. C’est un chat d’appartement que j’ai eu a coeur d’amener avec moi tous les weekends dans les Vosges, voir ses copains (nous avons d’autres chats chez mon papa). J’ai toujours ses flashback d’elle pleurant de l’autre côté de la route… Mon retour à l’appartement est extrêmement compliqué, chaque habitude est bousculée. Le repas du soir, jouer avec elle, lui remplir le lavabo quand je me brosse les dents, lui dire bonne nuit avant de dormir… Elle est actuellement en clinique avec une double fracture du bassin, et pas de réponse nerveuse au niveau des deux pattes arrières ainsi que la queue. Je vais la voir tous les jours. J’attend qu’elle soit plus en forme pour faire un scanner. L’attente est interminable. Si sa moelle épinière est gravement touchée je devrais prendre la décision de l’euthanasier. J’espère de toute mes forces qu’il ne s’agit que d’un pincement ou compression de la moelle qui l’empêche d’avoir des sensations. Mais je me fais une raison… C’est très dure pour moi, l’équipe de la clinique est géniale. Mais mon entourage je pense ne comprends pas le lien que je peux avoir avec mon chat. Elle m’a aidé à surmonter la solitude après être partie de chez mes parents. Elle apportait de la vie dans mon appartement. Elle m’écoutait, me répondait. J’ai eu du mal a l’apprivoiser au début, elle m’a fait beaucoup de bêtises. Mais je l’aime et si je dois m’en séparer l’épreuve va être très compliquée. Je m’en veux de ne pas être rentrée plus tôt chez moi et d’avoir prolongé mes vacances. Je m’en veux de ne pas m’être levée plus tôt ce jour là. Je m’en veux de ne pas avoir été plus attentive a la curiosité de mon chat qui étendait son territoire… Je vois remercie du soutien que vous pourriez m’apporter et d’avoir pris connaissance de ma situation.
Bon courage a tout ceux qui perdent leur meilleur ami, leur compagnon etc… Je ne suis pas seulement sa propriétaire mais bien plus <3
Merci pour ce partage déchirant avec nos lecteurs qui se sentent aussi parfois très seuls face à ce type d’événement.
Effectivement, le lien qui nous lie est bien plus qu’un simple lien propriétaire/animal. Nos animaux sont notre famille, ils nous aiment comme on les aime. Ils nous accompagnent dans tous les moments de notre vie, bons ou mauvais.
Nous ne pouvons malheureusement pas vous aider dans cette épreuve, simplement vous dire que quand nous lisons ce commentaire nous n’avons aucun doute sur l’amour que vous portez à votre petite Sumi. Et si, via quelques lignes, nous sentons déjà votre bienveillance envers elle, nous n’avons également aucun doute que Sumi sait aussi à quel point elle compte pour vous. Peu importe l’heure ou le moment auquel vous êtes rentrée, l’important est tous ces beaux souvenirs partagés ensemble et que vous soyez présente pour elle jusqu’au bout.
Vous envoyant nos sincères pensées.
Bonjour, en mars dernier j’ai récupéré une minette très maigre et qui avait apparemment été maltraitée.
Je lui ai donné tout mon amour, nourriture et coussins douillets.
Ces derniers jours elle ne sortait plus et dormait beaucoup, elle se cachait parfois. Elle ne semblait plus très jeune et j’ai pensé que tout cela était du à son âge.
Aujourd’hui 14h15 elle s’est mise à miauler très fort et s,est effondrée alletante, essoufflée et ne pouvant plus tenir sur ses pattes arrière.
Je l’ai immédiatement emmenée chez le vétérinaire. Elle ne bougeait presque plus. Le vétérinaire m’a dit qu’il n’y avait plus rien à faire. J’ai donc opté pour l’euthanasie pour qu’elle ne souffre pas.
J’ai mis sa petite tête dans ma main et lui ai fait plein de bisous. Elle a eu un dernier râle et elle est morte à 15 h.
Je suis mal, je m’en veut, je ne l’ai pas sauvée. Je n’ai pas fait ce qu’il fallait. Je ne peux pas m’arrêter de pleurer.
Bonjour Madame,
Nous sommes sincèrement navrés pour votre minette. Toutefois, la meilleure chose à faire était celle que vous avez faite. La conduire chez le vétérinaire pour qu’il puisse aider votre petite chatte. Malheureusement, il n’existe parfois aucun remède. Nous savons à quel point notre impuissance peut nous faire culpabiliser, mais vous l’avez accompagnée jusqu’au bout et offert tout l’amour possible. C’est le plus important.
Nous vous apportons tout notre soutien dans cette épreuve difficile. 🙁
Bonjour,
Merci pour votre réponse.
J’ai toujours ce sentiment de culpabilité, je regarde des photos et je repense aux bons moments passés.
Merci encore pour votre gentillesse.
mon chat, mon amour, je suis handicapée et quand l’infirmière est partie le soir il était venuesur moi comme d’habitude, on s’adorait il dormait une partie de la nuit sur ma poitrine plus de seins deux cancers et puis il se levait et vivait sa vie dans la maison, l’infirmière partie il s’était mis la tête sur un meuble ne bougeait plus et j’ai vu qu’il avait été des selles très molles à terre, très propre d’habitude je lui parlais il ne bougeai plus j’ai badou tu viens il ne bougeait pas j’ai changé sa grande litière je l’ai pris doucement sans réaction et le mis dedans il ne savait plus en sortir plus aucune force, je l’ai mis sur le sol et il a uriné assez bien j’ai pris une serviette de bain et l’ai allongé dessus je ne le voyais plus bouger du tout, j’ai pleuré dit Badou est mort mon amour ma chérie c’est maman rien pendant 1 h et puis un râle toutes les 2 mns il avait des mouvements convulsifs, je suis seule, plus marcder et là j’ai vu sortir des glaires de son museau il y avait comme une grande peau blanche il souffrait et puis arrêt complet ses yeux sont grands ouverts spondylarthrite ankylosante, deux cancers, des souffrances j’arrive à faire quelques pas mais il m’aidait à vivre c’était l’amour fou en 1 h tout cela s’est passé mais pourquoi, j’ai déjà tant souffert fracture du crane à 16 ans , endométriose, kyste énorme sur l’ovaire 2 mains cassées, deux pieds cassés, 15 cachets par jour anti coagulants tombée hémorragie massive ma jambe restée bleue depuis 3 ans 3 mois à l’hôpital ma fille nourrissait Badou on s’attendait patiemment, et là je suis seul je veille mon amour, je fais des mauvais rêves depuis quelques jours; j’ai 75 qns j’ai tout perdu pourquoi en 1 h de temps effondrement total je devais parler merci de m’avoir laisser exprimer ma douleur Nadine
Nous sommes tellement retournés à la lecture de ce message… Quel déchirement de perdre nos compagnons de vie ainsi ! 🙁
Nous vous envoyons tout notre courage pour vous relever de ce moment si douloureux.
Cordialement,
Ce jour est maudit.
Nous rentrons de weekend, mimi était resté avec nos 2 grands enfants. On avait constaté un changement dans son comportement. Il recherchait notre présence, venant se blottir sur nous, sur moi. Après recherches j’ai supposé qu’il était en demande d’affection parce qu’il avait peur d’être abandonné. J’ai donc été câlin, affectueux et doux. Je l’étais déjà de toutes façons. Il était couvert de bisous quotidiennement.
Et puis les garçons nous ont appelés, inquiets, de plus en plus.
Mimi se cachait dans les placards, grelotait, était prostré sur les pâtes. Il a perdu de la force de jour en jour, avait du mal à tenir debout. Il ne mangeait plus et buvait peu.
Il a perdu de la force, son état c’est dégradé.
Nous avons pensé qu’à notre retour, hier, il se remettrait. Nous avons évidemment envisagé le véto. Mais un weekend de Pâques évidemment ça pique. Alors nous nous sommes dit qu’on le surveiller ait et que si ça se dégradait on l’emmènerait aux urgences véto. C’est ce qui s’est passé ce matin. Toujours prostré dans le placard de mon fils. Je l’ai pris, posé sur un plaid très chaleureux que j’utilise au quotidien le soir. Il me regardait, dans le vide, était absent.
Il s’est levé, regain d’énergie temporaire pour mieux tituber dans la cuisine où il avait pour habitude de nous accompagner pour la préparation du repas.
On a donc décidé d’aller aux urgences. 15 minutes plus tard le véto a commencé à nous préparer.
Palpations, prise de sang, résultats. Diagnostic dramatique, leucémie, en fin de vie (18 mois).
Je l’ai donc caressé, couvert de bisous. Encore et encore. Je me suis excusé. Lui ai dis que je l’aime, j’ai pleuré encore et encore et le véto l’a endormi pour qu’il parte sans souffrir…
Je n’ai pas voulu être présent lors de l’injection fatale. J’ai payé (347 euros) et on est reparti, sans lui…
En larmes dans la voiture et régulièrement depuis. Il est parti vers 13h, il n’est que 18h30 et je pleure encore et encore…
Inconsolable, je m’en veux. J’ai l’impression de l’avoir abandonné dans un lieu qu’il ne connaissait pas, lâchement.
Nous l’avions fait castré mais je n’avais pas voulu le faire vacciner. Je pensais que ça ne servirait à rien. Quel gris con..
Peut être que ça lui aurait sauver la vie, peut être pas. Je ne le saurai jamais.
J’ai rangé ses affaires, lavé ses gamelles et son panier, sa litière…
Ses câlins, son poil tout doux, son calme, tout me manque déjà. J’ai envie de le caresser, de le couvrir de bisous mais il n’est pas là.
Jamais je n’aurais imaginer avoir autant de peine pour un animal.
J’en ai mal a la tête et aux joues a force pleurer…
On en aura un autre, mais pas pour le moment. Je ne veux pas le remplacer, juste essayer de redonner tout cet amour a un nouveau compagnon qui j’espère sera un peu, comme mimi.
Je l’aime. Il me manque déjà tellement…
C’est un message enregistré hier. Pour me vider…
Aujourd’hui je suis retourné le chercher chez le véto
L’idée qu’il le brûle était insupportable.
Et puis je voulais qu’il repose près de nous, sous le saule crevette où il avait l’habitude de se protéger du soleil l’été. Toujours près de nous.
Je lui ai fais un dernier bisou avant de l’enterrer.
Put…. C’est dur.
Mais il est la, a côté, dans son panier polaire où il dormait. Je l’ai recouvert.
Il a marqué nos vies. Il était doux et calme. Il nous manque tous terriblement.
18 mois seulement….
C’est injuste.
Cher Ludo,
Quels mots peuvent adoucir le vide que nos animaux nous laissent après leur départ ? Seul le temps semble pouvoir faire ce travail.
Nous avons les larmes aux yeux à la lecture de ce message et partageons votre désespoir. 🙁
Nous pouvons ressentir dans ces quelques lignes, tout l’amour que vous portiez à Mimi, et ce jusqu’à ses derniers instants.
Vous l’avez accompagnée tout au long de sa vie, vous avez partagé ses aventures, et elle a partagé les vôtres. Votre présence sans faille est la plus belle preuve d’amour que vous pouviez lui offrir. Elle a de la chance de vous avoir eu à ses côtés.
Nous vous envoyons tout notre courage pour traverser cette épreuve.
Merci Audrey pour votre témoignage et votre soutien.
J’expose ma douleur, notre douleur sur les réseaux.
C’est la seule façon que j’ai de l’atténuer.
Depuis hier je rend publique et partage aussi bien pour me soulager que pour informer et éviter aux amoureux des animaux de vivre ce drame.
Mimi était un male que nous avions fait castrer pour qu’il ne se mette pas en danger en courant après une femelle.
Déjà j’avais mal vécu cette castration, je me sentais coupable de cette amputation. Je pensais que cet acte le protégerait et que nous l’aurions égoïstement pour nous pour longtemps.
On a été le chercher a 80 kms et des les premiers moments nous l’avons protégé et choyé.
C’était le 3 octobre 2021, il n’avait que 6 semaines (nous avons découvert plus tard que c’était trop tôt).
Nous l’avons gardé a la maison pendant ses premiers mois et lorsque la météo s’est adoucit nous l’avons accompagné pour sa première sortie terrasse. Il remplit, intimidé par ce nouveau monde.
Mimi n’a jamais été téméraire et comme la maison était un havre de paix chaque bruit était pour lui une source d’inquiétude. Pas forcément peureux mais prudent.
On ne s’inquiètait donc pas vraiment pour lui.
Il fuyait les voitures.
Nous avons un grand terrain a la campagne qui lui permettait d’aller à l’aventure, en sécurité.
Il nous accompagnait toujours, a distance, l’air de rien, quand nous faisions le tour du terrain pour suivre la pousse des plantes
A la maison il n’aimait pas rester seul. Il nous accompagnait partout où nous allions (oui oui partout) pas toujours mais la plupart du temps.
Il n’a jamais griffé les meubles, jamais été agressif (il nous faisait juste comprendre de le laisser tranquille quand nous étions un peu trop “relou” a lui faire des bisous).
Pendant la préparation des repas il s’étalait de tout son long en plein milieu de la cuisine (la c’était lui le relou)
Alors je le poussais délicatement avec le pied et il se laissait faire.
Bien évidemment nous jouions régulièrement avec lui, surtout les gars, et moi aussi.
C’était un compagnon adorable, social et affectueux.
S’en est encore plus compliqué de l’avoir perdu si soudainement.
Mais aujourd’hui je suis un peu plus apaisé. Il est là, pas loin, chez nous, chez lui. Je n’ai plus cette impression de l’avoir abandonné.
Ça me rongeait tellement depuis hier…
J’ai pu lui faire un dernier bisou avant de l’enterrer.
J’ai hélas oublié de lui prendre le duvet sur le cou.
Je sais que ça peut paraître trop. Je sais aussi que ce ne durera pas mais pour l’instant j’ai besoin d’avoir quelques choses de lui…
Un lien physique pour combler l’absence.
Je vous remercie Audrey, votre empathie me tire les larmes mais c’est courant chez moi.
Trop sensible, je n’aime pas savoir les gens triste alors ça me touche.
Il est possible que je revienne profiter de cet exutoire et pardonnez moi si je suis present, trop, pendant quelques temps.
Prenez tous soins de vous et de vos compagnons de vie. Nos bêtes à bisous
Je reviens completer mon témoignage.
La mort de mimi est si douloureuse que je cherche des réponses.
Et ce soir je crois me rendre compte que mimi est décédé d’une suite de leucose. Après recherches je me rend compte qu’on aurait pu éviter ce drame avec un simple vaccin quand on a été le chercher, après sa castration.
Alors si c’est vrai, si ne me trompe pas, nous sommes en train de vivre le drame du Papé de jean de Florette.
Mimi est mort par ma faute sans doute par défaut de vaccination.
Alors il l’a payé au prix fort mais moi aussi.
A la douleur que j’éprouve (pas que moi) depuis hier midi vient s’ajouter la culpabilité.
C’est horrible.
Si seulement j’avais été moins stupide..mimi serait encore allongé a côté de moi sur son plaid, étiré de tout son long ou complètement tordu dans tous les sens…..
Je me maudit…
Bonjour simplement pour jouer dite que mon frère a perdu dent chat comme vous très jeune de leucémie….eux ils ont fait le vaccin…mais malheureusement c’est le vaccin qui as réveillé la maladie…elle avait déjà la leucémie dans ces gêne…c’est ce que le vétérinaire lui as dit…donc j’espère que ma réponse vous as consolé ce n’est pas votre faute…hier j’ai perdu mon chat de 18 ans…elle et1it si fatiguée je compati à votre douleur prenez soin de vous.
Bonsoir
Je viens de perdre mon chat adoré et une partie de moi est partie, il a souffert beaucoup à cause un fibrosarcome. depuis un an on se bat avec mon mari pour le sauver mais rien à faire, ça c’est multiplié partout sur sa tête, il lui arrive de perdre l’équilibre, ça descend sur son cou, il n’arrive pas à manger , mais depuis quelque temps une autre bosse sorti au milieux de sa tête il me bouger plus tellement, je pense qu’il souffre beaucoup, il ne boit plus beaucoup, ses urines sentent très forts, on est allé au vétérinaire et elle nous a qu’il fallait l’aider à partir, aussi j’espère qu’il ne souffre plus là ou il est.
Je lis tout les témoignages très beaux mais tellement triste. Ce matin c’est moi qui écrit un commentaire pt en pensant soulager ma douleur, je viens de perdre ma fifille, mon bébé, mon chat d amour tellement calinou tellement adorable. Un premier diagnostic jeudi chez le veto de l eau et du sang dans une ponction qui a encore très affaibli ma mimine je l enmenais parce qu’elle tenait plus trop debout, et je voyais également un peu de mal dans la respiration. Conclusion la veto adorable me dit que ma mimine dans un grand état de fatigue qu’il faut l aider à partir sereinement. Mais je ne peux pas me faire à cette idée surtout qu’il n y a pas un diagnostic vraiment établi, car la radio vu toute l eau dans ses poumons cachent tout ses petits organes. Alors je décide de prendre un autre avis dans une grande clinique où elle à déjà été sauvé il y a 3 année à 1h de chez moi.ils ont reçu les examens faits la veille. Et là me disent il ne faut pas faire d acharnement. Ils ont mis ma fifille sous occigene et du coup je la vois bc mieux. Alors je leur demande qu’ils fassent en sorte de savoir vraiment si ont peut la sauver où pas,je veux tellement la garder. Donc obligé de refaire une ponction pour enlever tout le liquide où il y avait du sang aussi afin de voir sur un scann si qq chose se cachait dessous pt un cancer. Et voilà je laisse ma mimine et cette nuit minuit 30 le téléphone sonne et ma fille tellement fatiguée suite a l examens son petit coeur a lâché. Je ne peux m arrêter de pleurer une mort sans vraiment un diagnostic une culpabilité de lui avoir pt encore infligé cet examen et tellement j aurais voulu l avoir encore un peu à la maison..comment surmonter cette peine je ne suis pas sûre d y arriver tellement c etait une minette d amour.
Nous savons qu’il est difficile de trouver la force de traverser l’épreuve d’une perte. Malgré tout, nous sentons beaucoup d’amour dans ce témoignage. Cet amour vous a guidé pour offrir la meilleure vie possible à votre fifille, et ce même dans cette période terrible qui est la fin de vie. C’est le plus important.
Nous vous envoyons tout notre courage.
Bonjour
En voulant faire le tri sur mes raccourcis je suis tombé sur ce lien
J’ai donc relu les témoignages y compris les miens
Les larmes sont de nouveaux montées.
Alors Je viens compléter mon témoignage par une note plus douce.
Suite au décès de mimi, la douleur étant trop forte il m’a fallu trouver un chaton.
Autant pour me soulager que pour finalement continuer à donner cette tendresse à un petit protégé.
Je me suis donc mis en quête d’un chaton et j’en ai raté plusieurs par manque de réactivité.
J’ai donc créé des alertes et ça n’a pas trop tardé. J’ai répondu dans la minute à une annonce et j’ai pris ma voiture dans la foulée.
Je me suis fait délester de 100 euros pour une petite chatte, évidemment trop mignonne qui m’a fait craquer.
J’ai eu un cas de conscience, comme si ce chaton était un produit de consommation qui venait en remplacer un hors d’usage. Ça m’a perturbé quelques temps.
Ce petit chaton, hélas, n’a pas bien réagi à cette épreuve.
Là encore j’ai culpabilisé. Qui suis je pour retirer a sa mère et ses frères et soeurs un chaton (qu’on a su a peine sevrer par le vétérinaire) ?
La première soirée à été très anxiogène. Elle était très faible, ne voulait pas manger ni boire. Retour du cauchemar.
Alors appelle au veto, de nouveau, vers 23 h…
Rendez au cabinet dans la foulée.
Bien sûr le cabinet m’a reconnu. La perte de mimi était très récente.
Le véto l’a hydraté et reboosté.
Dans les jours qui ont suivi on a été très attentifs, tous.
Mon fils l’a nommé mia (il a très mal pris “le remplacement” alors c’était une façon de l’impliquer.
Aujourd’hui mia va très bien.
Je me rend compte, a la re lecture de mon témoignage, qu’elle ressemble beaucoup à mimi.
Mais elle est incroyablement affectueuse. Elle vient quotidiennement sur nous quand on est posé. Elle a une préférence pour moi et mon aîné qui était venu la chercher avec moi
Elle a les mêmes habitudes que mimi dans la cuisine, elle se vautre !
Elle n’aime pas rester seule donc elle nous accompagne partout
Elle est très joueuse.
Elle nous dépose une petite balle en coton qu’elle doit prendre pour une proie qu’elle exhibe fièrement…
Elle nous la ramène comme font les chiens. Et ça peut durer plusieurs dizaines de minutes
Elle est stérilisée et vaccinée (on a compris la leçon).
Elle a 18 mois (il me semble) et c’est une princesse.
Il faut lui ouvrir les portes, sans arrêt…
A table (je sais que ce n’est pas bien) elle se pose sur le 5 ème des 6 fauteuils de table et posé sa tête a plat, elle participe au repas.
Et bien sur, comme nous sommes des gens très responsables, ont la laisse faire, elle est trop mignonne.
Bref, la douleur a été remplacée par la tendresse et l’amour de Mia. Je ne sais pas si c’est égoïste ou pas pour mimi mais elle a ramener la joie dans la famille.
On est pas parfait, on ne fait pas de mal ni aux animaux ni aux gens.
Petit détail, ma femme soigne particulièrement sa nourr6et elle a un poil d’une incroyable douceur
Alors je vous souhaite à tous de retrouver le bonheur avec la présence d’un petit protégé.
Bonsoir. Je suis dans une grande peine. Mon Peticha, c’est son nom a disparu. C’est le terme, disparu. Une petite chatte qui s’est installée chez nous il y a plus de treize ans. Depuis 2 ans et demi elle était soignée 2 fois par jour pour une hyperthyroïdie. Sa maladie était bien maîtrisée, elle mangeait bien, faisait ses besoins, se lavait. Moins mobile, elle se cachait dans un placard pour dormir une bonne partie de la journée. Mais le soir, elle restait avec nous et sortait un peu plus, rarement plus d’un quart d’heure. Jusqu’à samedi soir. Je n’étais pas là, mon compagnon s’en occupait comme d’habitude. A 20 heures, elle a demandé à sortir. Il lui a ouvert la porte. Une demi-heure après, il est allé voir où elle était, l’a appelée, cherchée… Rien. Plus rien. Depuis 3 jours, bientôt 3 nuits, nous la cherchons, appelons dans toutes les directions. Plus rien, elle semble s’être évanouie… Elle avait sans doute près de 15 ou 16 ans, un chat de cet âge peut-il encore fuguer ? Elle n’avait pas passé une nuit dehors depuis 13 ans. J’appelle, je cherche, je pleure… Combien de temps serai-je sans nouvelles ?
Nous sommes navrés pour cette disparition. Voici un article qui peut peut-être vous aider : Chat perdu : 10 conseils utiles pour le retrouver
En espérant que vous retrouviez votre petit compagnon.
mon minou est parti à 16ans. je l ai amené chez son vétérinaire qui l a gardé la nuit, mais l a laissé seul de 19h jusqu’à 10h du lendemain matin. le vétérinaire en question l a retrouvé mort. elle a arrangé pour que je le vois présentable. mais, minou a souffert,j en suis sure, et il etait seul,pour ses derniers instants. je trouve que la clinique m a volé ses moments ou minou m avait besoin…
Nous sommes navrés pour la perte de votre minou, d’autant plus dans ces conditions. 🙁 N’hésitez pas à communiquer et échanger le plus possible avec votre vétérinaire qui saura vous répondre à vos questions et peut-être apaiser un peu votre coeur.
Vous envoyant tout notre soutien.
Mimi, ma chatte décédée le 05/09/2023 d’une CMH. Elle était de race européenne.
Elle a été hospitalisée car elle avait l’air abattue, fatiguée. Arrivée chez le véto il décide de l’hospitaliser car elle était en hypothermie et avait perdu du poids.
Le soir même, malgré la couverture chauffante, elle remonte que d’un degré. Puis le lendemain lorsque je m’apprêtais à lui rendre visite, on me demande de faire demi tour puisque son état s’était aggravé… embolie pulmonaire, du coup ils décide de la mettre sous oxygène. Je vous épargne les montagnes russes en émotions au fil des appels du vétérinaire au cours de la journée. Elle décédera finalement à 15H sans même que je puisse la voir, ni l’accompagner.
Nous étions tellement fusionnelle, mimi était un chat chien, elle me suivait partout dans la maison.
J’ai eu des soupçons dès ses 3-4 mois lorsque je la voyais essouffler lors de nos parties de jeu. Malgré mes alertes, les différents vétérinaires me disaient c’est tout à fait normal ou bien son cœur bat vite aujourd’hui car elle est stressée d’être chez le véto. Mais aucune proposition d’examen plus poussé (électrocardiogramme etc)
Aujourd’hui je m’en veux de ne pas avoir exigé des examens approfondies, j’en veux au vétérinaire de ne pas sensibiliser les propriétaires de chat sur cette maladie. Je m’en veux de l’avoir laissé seule dans un endroit qu’elle ne connaissait pas.
Bonjour Sarah,
Merci pour ce témoignage qui n’a pas dû être facile à partager. Après lecture de votre message, nous pouvons ressentir que vous avez fait tout le nécessaire pour Mimi. Malheureusement, en tant que parents de félins, sans formation vétérinaire, nous ne pouvons pas nous même diagnostiquer les problèmes de santé de nos animaux. Vous avez eu les bons réflexes en consultant et avez fait tout votre possible pour essayer d’aider Mimi. Nous savons qu’il est difficile de ne pas culpabiliser ; il est naturel de chercher un coupable dans un premier temps. Cela fait partie du processus du deuil. Malgré tout, notre conseil serait de prendre un moment pour vous rappeler les bons moments avec Mimi. Cette jolie vie et tout cet amour ensemble. Dans ces souvenirs se trouve l’essentiel de votre histoire et ce qu’il y a à retenir.
Mon siamois âgé de 14 ans est en déclin très net depuis la perte il y a 3 mois de sa compagne femelle. Ils étaient ensemble depuis 12 ans, vivant en parfaite harmonie. Soudainement, il s’est mis à avoir des épisodes d'”absence”, que nous avons tout d’abord complètement attribué à son deuil, mais désormais ces jours de prostration surviennent de plus en plus souvent et évoquent plutôt la sénilité. Il fait de nouveau ses besoins dans une litière alors qu’il utilisait toujours l’extérieur pour cela, d’ailleurs ses sorties sont très limitées et il se contente de tourner et virer devant la porte d’entrée, semblant perdu. Il en va de même dans la maison, qu’il arpente avec lenteur, le corps près du sol et la tête baissée, les yeux vides. Il ne nous reconnaît pas et a une posture de crainte. Ses visites chez le vétérinaire n’ont pas été concluantes, il est “en bonne santé” hormis un souffle au coeur, classique à son âge. Il peut y avoir un ou plusieurs jours d’affilée où il retrouve un comportement quasiment normal bien qu’il paraisse toujours fatigué, mais invariablement les moments “sans” reviennent et se prolongent. Mon coeur est déchiré pour ce grand pot de colle né sous mes yeux, lui qui était un chasseur invétéré et un farouche défenseur de son territoire, je le vois s’affaiblir et je ne le reconnais plus.
Chère Karine,
Nous savons à quel point cela peut être triste de voir son animal vieillir. Mais si votre coeur est déchiré aujourd’hui c’est aussi parce qu’il est rempli d’amour, le plus beau cadeau que la vie peut offrir.
Nous vous envoyons tout notre courage dans ce moment difficile.
Bonsoir c’est un peu le coeur serré, un sentiment de culpabilité et d’impuissance, j’ai mon chat qui a une grave maladie au foie, jusque là on le traitait avec des antibio, là cette fois ça n’a pas fait effet, il reste dans son coin se déplace difficilement n’a pas mangé depuis 3 jours, je le ramène au véto demain, car malgré ses mots rassurants mardi il n’a toujours pas mangé et c’est énormément affaiblit… J’ai peur de le perdre… Je ne sais plus quoi faire; Je sais que ces quelques mots ici ne le guériront pas. Tout comme je me sens impuissant et coupable face à ça…
Mon bonhomme adoré etait en fin de vie. Cancer. Un rdv chee le vétérinaire etait pris ce vendredi pour l’euthanasie.
Il ne mageait plus et restait dans son coin à côté du radiateur. Puis il a commencé à s’allongé sur le sol. Il n’avait plus beaucoup d’énergie toutefois il continuait régulièrement à sortir par la chatière et c’est là où arrive le drame. J’aurais du bloquer sa chatière, je m’en veut terriblement et je souffre de ma bêtise car voilà 2 jours qu’il n’est pas revenu et il a fait très froid la nuit.
Je ne sais pas si je vais encore le revoir car j’ai très peur su’il ne soit mort de froid.
Je suis handicapée mais des voisins m’ont aidé pour le retrouver. Rien. On ne le trouve pas. Pourquoi ai-je été aussi bête en laissant la chatière ouverte. Je m’en veux terriblement et je souffre de ma bêtise et encore plus d’imaginer qu’il soit mort de froid… par ma faute.
Je suis inconsolable d’avoir été aussi bête et surtout d’imaginer les souffrance su’il a pu endurer alors que si j’avais bloqué la chatière, il serait parti sereinement par l’euthanasie du vetinaire dans 3 jours.
J’espère toujoirs qu’il reviendra mais je ne doit pas me faire d’illusion. Il etzit en fin de vie et ne faisait plus que boire. Il avait perdu beaucoup de poid. Malgré ses poils long, on sentait tous ses os. Tous, même ceux des sourcils.
Pourquoi b’ai-je pas fermé la chatière alors qu’il a fait – 9° la nuit? Je m’en veux terriblement et ne cesse de penser à lui et aux soiffrances qu’il a du endurer. Si au moins on le retrouvait. Mais qui sait où il est tres probablement mort. Les recherches continuent mais j’ai peu d’espoir toit en gardant l’espoir qu’on le retrouve. J’esper(rais) lui offir une mort digne et avais même pris un rdv dans un crematorium pour garder un peu de ces cendres dans une petite urne, le reste aurait eté dispersé sur la pelouse prévue à cet effet. Il me manque tellement.
J’ai besoin de lui, de le retrouver et de garder un peu de lui dans l’urne.
Je m’en veux tellement. Je suis inconsolable de ma bêtise et de la mort qui l’a surement subit. Mourir de froid. Je ne sait pas si je vais lui survivre bien longtemps si on ne le retrouve pas. Ce ne serait que justice pour ma faute.
Si vraiment il y a un Dieu qu’il nous vienne en aide à mon bonhomme et à moi car j’ai le sentiment d’être autant perdue que mon bonhomme.